... le baiser du cachalot part pour un tour de l'atlantique en deux ans ...

La criée du cachalot








Marlin blanc 2métres 25 kilos pris au large de la Jamaïque. Pas simple de le remonter à bord !
La gazinière du cachalot fume depuis 3 jours, soupe, hachis parmentier, poilée, barbecue, bocaux... et nos voisins sont contents.

poulet pays


Carangue au four ail, gingembre (un délice...)

Langoustes brésiliennes

Carangue Inox
en chasse!

Perroquet Carnaval

encore un tazar de 1m30
avec le même leurre...
merci Mamouth! et bravo Bouc!


tazar ou wahoo de 1m30 estimé à 13 kg
peché a la traine cap vert

carangue (bijagos)


remora, elles nous ont suivi pendant 1 semaine au bijagos, collé à la coque


Ce ne sont pas mes poissons mes ceux de François, le pizzaiolo de tarrafal. D’ailleurs si vous passez par là, c’est le resto à ne pas louper « l’Alto Mira! » François m’a emmené avec son « vieux », pêcher dans le grand bleu, une expérience inoubliable malgré que je sois rentré bredouille. On a vu une grosse dizaine de tazards, des carangues noires et argentés. J’ai perdu ma flèche dans une carangue et loupé un tazard et une autre belle carangue noire avec un deuxième fusil qui manquait de puissance et surtout par manque d’expérience, les distances sont dures à apprécier !











Mérou ou Badèche ?















Belle prise à trou

Le poisson de Maé


Une Badèche et deux Sérioles

      bonite à ventre rayé
    dente à gros yeux

rouget, mostelle et corbe

 une moule géante!!! (protégée donc rejetée)

cigale remise à l'eau (espèce protégée)

perroquet vieillard

 une grosse vache dont on ne connait pas le nom
 badèche 


petite dorade coryphène qui a fini dans nos assiettes




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  C’est ma Première dorade coryphène, un monstre en taille et de beauté. Elle a mordu sur un leurre calamar bricolé, j’ai entendu le fil se tendre et sauter un énorme poisson bleu, j’ai crié à Pauline « une daurade coryphène ». J’ai mis un peu de temps à la remonter, la nageoire dorsal d’un bleu indescriptible toujours hors de l’eau, elle nageait parallèle au bateau, à 10 mètres.
Pendant la remonté, la question était on garde ou pas ? Nous avons décidé que non. Le morceau est trop gros, nous ne somme pas en manque de frais, nous n’avons pas de frigo et il faut avouer qu’on n’avait pas l’estomac  dans une forme de celui de l’ogre dans le Petit Poucet.
Alors,  avec du baume au cœur et quelques éraflures sur les mains et les jambes j’ai relâché la bête pendant que Pauline prenait des photos. Et depuis, ça fait 2 jours et je n’arrête pas de repenser à ce magnifique poisson et cette remontée sportive. J’espère ne pas l’avoir trop esquinté…





   


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